Outre la nécessité de se parler mutuellement, les associations de commerçants doivent se réinventer sur certains points et travailler à leur propre amélioration : les véritables associations de commerçants, constituées en ASBL ne sont pas majoritaires. Les associations de quartier sont nombreuses et ne disposent souvent pas d’un statut autre que celui d’association de fait, les cantonnant à des rôles très marginaux et peu durables dans le temps… En termes de communication, même si toutes sont actives, elles n’ont pas toujours la maîtrise optimale des outils qu’elles utilisent.